Le premier vin au cannabis du vignoble nantais adoubé par les grands chefs français
Lancé il y a un an, Brume, vin aux fleurs de chanvre de La Regrippière, est servi sur de grandes tables. Son créateur vient d’être reconnu producteur artisan de qualité par le Collège culinaire de France.
Maxime Bordelot vient d’être reconnu « producteur artisan de qualité » par le Collège culinaire de France pour son vin au chanvre. | MB
Il y a à peine un an, il nous présentait sa folle création au joli nom de Brume. Un vin au cannabis dans le Vignoble nantais, il fallait oser… Pas un problème pour Maxime Bordelot. Co-créateur des bières Duck, le garçon de La Regrippière avait déjà mis au point le premier vin houblonné de France. Une expérience, tentée au départ pour rire avec son copain Romain Héraud, vigneron à Clisson. Jusqu’à ce qu’elle devienne une affaire sérieuse. Wine Hop, vin blanc infusé à la fleur de houblon, est sorti des caves en 2020. Dans le même temps, j’ai vu toutes ces boutiques de CBD fleurir partout, se souvient le trentenaire. Le houblon étant un cousin du chanvre, celui qui est aujourd’hui diplômé en qualité de sommelier bière a tenté une nouvelle alchimie.
Mais à leur arrivée, les gendarmes tombent sur une pancarte pour le moins originale. Un message leur est adressé dans lequel le cultivateur leur demande de ne rien détruire : "Bonjour messieurs/ dames les gendarmes, Les chiens ne mordent pas, Ils se contentent d'aboyer, Je coopère, assume et ne cherche pas à fuir, Merci de tout laisser en état correct".
GN30
Le cultivateur est arrêté par les gendarmes. Comme il l'avait lui-même indiqué, il reconnaît les faits. Il sera convoqué par la justice ultérieurement . Les 63 pieds de cannabis ont quant à eux été arrachés et détruits.
Idole des adolescents, Justin Bieber se lance dans la vente de cannabis
DIVERSIFICATION – Consommateur régulier de cannabis, le chanteur canadien Justin Bieber s’associe à un fabricant californien pour lancer sa propre gamme de produits. Une partie des bénéfices sera reversée à plusieurs associations qu’il soutient.
Jérôme Vermelin - Publié le 6 octobre 2021 à 17h39
"Je me fournis en herbe en Californie", chante Justin Bieber sur "Peaches", l’un des tubes de l’album Justice, sorti en début d'année. Après avoir vanté les bienfaits du cannabis en musique, la pop star canadienne vient de s’associer à la marque Palms pour lancer sa propre gamme dans plusieurs États américains où il est autorisé comme la Californie.
J'ai trouvé comment faire de la place dans ma vie aux produits à base de cannabis afin d’améliorer mon expérience humaine- Justin Bieber dans Vogue
"Notre but est de rendre le cannabis plus accessible et de déstigmatiser son utilisation", indique dans un communiqué cette société qui propose des packs de joints déjà roulés en Californie mais aussi au Nevada.
Palms précise qu'une partie des bénéfices des ventes à venir sera reversée à plusieurs associations soutenues Justin Bieber. Parmi elles, Last Prisoner Project, qui réclame une modification des lois condamnant les consommateurs de drogue. Et Veteran Walk and Talk, qui prône l’utilisation du cannabis et de substances psychédéliques pour venir en aide aux anciens soldats.
"Le cannabis est quelque chose qu’on m’a longtemps reproché d’apprécier", explique pour sa part l’interprète de "Baby" dans une interview accordée à Vogue. Dans la série documentaire diffusée l'an dernier sur YouTube, il expliquait avoir fumé ses premiers joints à l'âge de 12 ou 13 ans.
"Aujourd’hui j’ai trouvé comment faire de la place dans ma vie aux produits à base de cannabis afin d’améliorer mon expérience humaine", ajoute le jeune homme qui précise que la consommation de cannabis a été bénéfique à sa santé mentale, mise à rude épreuve par sa notoriété précoce.
Justin Bieber, 27 ans, n'est pas la première célébrité à investir dans le commerce du cannabis aux États-Unis. Avant lui, la superstar du rap Jay-Z mais aussi les actrices Rosario Dawson et Gwyneth Paltrow ont investi dans des firmes qui proposent des produits de qualité.
Paul McCartney : la star des Beatles cultive des plants de cannabis… à l'abri des regards
C'est avec passion que Sir Paul McCartney se consacre depuis plus de 20 ans, dans sa ferme familiale à l'agriculture biologique. Mais l'ex-Beatle qui a désormais des plants de cannabis, se voit dans l'obligation de les cacher, sous peine de les voir se volatiliser...
CITÉS DANS CET ARTICLE
So British ! Il est l'un des plus grands musiciens du monde, a été anobli par la reine Elizabeth II en 1996 mais désormais Paul McCartney a troqué sa basse pour la tenue tout de même très chic de Gentleman Farmer. Dans sa ferme familiale, située à Peasmarsh, près de Rye, l'ancien membre des Beatles devenu végétarien depuis plus de 20 ans s'est pris de passion pour l'agriculture biologique et regarde pousser les plants avec passion : "Lorsque j'ai acheté cette ferme, les employés me disaient 'y'a pas de vers dans ces champs, y'a pas de vie ' C'était le fruit d'années passées à déverser pesticides et fertilisants, je me suis dit ok, voilà un challenge. Passons au bio." Un défi qu'il ne regrette nullement de s'être lancé. "J'aime faire des choses comme l'épeautre, le seigle, nous cultivons des pois", a révélé le veuf de Linda avec enthousiasme.
Une variété de cannabis dans la ferme de Sir Paul
Mais voilà qu'une de ses nouvelles plantations l'oblige à une nouvelle gymnastique. "On vient de commencer à faire de la culture de chanvre, et ce qui est drôle c'est que les réglementations gouvernementales imposent qu'elles ne soient pas visibles. Parce que sinon les gosses viennent pour les voler ! ", a-t-il exposé. Mais pourquoi l'interprète de Come Together en est-il venu à cultiver cette variété de cannabis ? Tout simplement parce que contrairement à sa cousine le chanvre ne contient que des taux bas de THC susceptible d'influer négativement sur la santé des consommateurs. Sir McCartney cultive donc la variété qui permet de faire des vêtements, du maquillage, de l'encre d'imprimantes du savon ou même du détergent...
Pas très rock'n'roll de la part de l'icône, consommateur régulier de 1964 aux années 2000 et qui fut arrêté par deux fois pour possession illégale ? Peut-être mais à 79 ans Paul McCartney affiche une volonté claire : "La vérité est que je ne veux pas vraiment donner le mauvais exemple à mes enfants et petits-enfants. C'est le geste responsable ". En espérant que les petits enfants de Sir Paul n'aient pas accès aux plants cachés...
Isère : du cannabis saisi dans des pochettes à l’effigie d’Éric Dupond-Moretti, nouvelle figure "marketing" des dealers
De plus en plus, les dealers markètent leurs produits pour attirer les clients.
Publié le 09/10/2021 13:09
Temps de lecture : 1 min.
Éric Dupond-Moretti, caricaturé sur une pochette contenant de la drogue à Grenoble. (POLICE DE GRENOBLE)
Les policiers isérois ont découvert vendredi soir du cannabis dans des pochettes à l’effigie du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, rapporte samedi 9 octobre France Bleu Isère. Un jeune homme a été placé en garde à vue.
Vendredi soir, vers 23h20 des policiers municipaux remarquent un jeune homme au comportement suspect. La police nationale de Grenoble décide alors de procéder à l’interpellation du jeune homme et à la fouille de sa voiture. Une savonnette de résine de cannabis, 86 barrettes de résine, 10 sachets d’herbe de cannabis et sept pipettes de cocaïne, conditionnés pour la vente ont été saisis. L'herbe se trouvait conditionnée dans des pochettes à l'effigie du ministre de la Justice.
Des dealers de plus en plus créatifs pour vendre
Les dealers rivalisent d’imagination pour leur "promos". En janvier 2019, les douaniers de l'aéroport de Lyon avaient saisi, en provenance de Chine, un container entier de pochettes colorées floquées "Mistral 38", du nom d’un quartier grenoblois et ornées de la feuille de cannabis. Quelques mois plus tard, en avril 2019, les trafiquants de ce même quartier organisent une tombola sur Snapchat. Les "clients" pouvaient gagner des consoles de jeux. Les trafiquants rivalisent d'imagination et usent de méthodes marketing. En décembre 2020 par exemple, les policiers du Morbihan avaient saisi des sachets de drogue "Dragon ball Z". A Nantes, en février dernier, la drogue se trouvait dans des emballages "Kinder surprise".
CBD : une révolution du côté d’Apple
Laure Marciellienne 2 septembre 2021, 11h27 (02/09/2021)
CBD : une révolution du côté d’Apple
Le CBD. Une substance de plus en plus consommée ces derniers temps.
En effet, il n’est plus rare de croiser des personnes consommant régulièrement du CBD afin de soulager leurs troubles du sommeil ou encore des problèmes d’anxiété, mais aussi des patients utilisant le CBD en complément de leur traitement dans le cas de maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson par exemple.
Aussi, le CBD peut être utilisé en cas de légères infections cutanées.
Une substance multiface, qu’il devient de plus en plus simple de se procurer par le biais de boutique physique ou encore sur internet, encore plus simplement qu’avant grâce à Google et Apple.
L’App Store autorise la vente de CBD sur sa plateforme
Autrefois, il était totalement impossible de se procurer des substances telles que du CBD à travers l’AppStore d’Apple. En effet, Apple interdisait à tous les services de vente et de livraison de cannabis d’être présent sur sa plateforme. Cependant, c’est très récemment que le géant américain de la technologie a décidé de changer d’avis et de mettre à jour sa législation. Cette interdiction est désormais levée.
En revanche, Apple à tout de même établi quelques restrictions. Pour toutes les applications qui concernent la vente de cannabis, et donc logiquement aussi pour l’App Store d’Apple, cette dernière doit être soumise et sous contrôle géographique restreint en fonction de la juridiction.
C’est-à-dire que cette partie de l’application ne sera disponible que dans les endroits où cette substance est légale et autorisée. Aussi, le programme doit obligatoirement être contrôlé par une entité légale qui sera en capacité de fournir les services, mais pas par un développeur individuel.
C’est à la date du 7 juin que l’entreprise américaine a décidé d’effectuer la publication de la nouvelle version de sa législation et de ce qui constitue ses lignes directrices en ce qui concerne l’examen de toutes les applications qui pourraient être disponibles sur l’App Store. Toutes ses informations étaient réunies dans un document plutôt long, ce dernier reprenant et dictant toutes les règles et conditions que les applications seront dans l’obligation de respecter dans le but d’être approuvées par le service Apple et donc d’être disponible pour tous les utilisateurs de l’App Store.
Ainsi, il sera dès à présent possible de retrouver sur App Store, et dans les régions autorisant la vente et la consommation de CBD, des services de vente et de livraison à domicile.
Android et Google Play restent sur leur position d’interdire les produits à base de CBD sur leur plateforme
Même si Apple a pris de nouvelles dispositions en ce qui concerne le CBD, ce n’est pas le cas de ses concurrents. En effet, Android et Google Play continuent d’interdire ce genre de vente sur leur plateforme. Lors de l’année 2019, ils ont même effectué une mise à jour de leur politique afin de strictement interdire tout moyen de mettre en relation leur client ou utilisateur avec le CBD ou le cannabis, même si cette substance est légale dans l’État dans lequel ils vivent.
Pour eux, autoriser ce genre d’application ou de programmes à prendre place sur la plateforme c’est faciliter la vente de produits dans lesquels on retrouve du THC, ce qui totalement à l’opposé de leur politique. Google décide donc de ne pas suivre l’autre géant Américain de la technologie Appel en continuant d’interdire la présence d’application et de programme contenant du cannabis ou du CBD sur ses plateformes.
Entretien : faut-il légaliser le cannabis ?
Publié le 27/05/2021 17:16
Durée de la vidéo : 4 min.
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Renaud Colson, maître de conférences à l'université de Nantes, et Henri Bergeron, directeur de recherche au CNRS, co-signent Faut-il légaliser le cannabis ?. Ils y analysent les expériences des pays légalisateurs et l'influence de la légalisation sur le trafic.
Les équipes de France Télévisions ont rencontré Renaud Colson, maître de conférences à l'université de Nantes, qui a co-écrit avec Henri Bergeron, directeur de recherche au CNRS, Faut-il légaliser le cannabis ?. S'il déconseille formellement l'usage de cannabis, qui reste "une drogue potentiellement dangereuse", il étudie l'impact de la légalisation sur le trafic de drogue. Selon le chercheur, le trafic de cannabis est source de violence. "Cette violence vient de son interdiction et des trafics que son interdiction engendre."
Le risque des produits frelatés
En France, 5 millions de personnes consomment du cannabis, dont 900 000 sont des usagers réguliers. L'interdiction du cannabis ne permet pas de contrôler la qualité du produit vendu. "Il y a eu de l'herbe coupée avec des microbilles de verre pour en alourdir le poids, il y a des fleurs de chanvre à faible teneur en THC qu'on vaporise avec des cannabinoïdes de synthèse qui sont particulièrement dangereux", explique l'expert. Certains pays ont fait le choix de la légalisation, comme l'Uruguay ou le Canada. Selon Renaud Colson, la légalisation dans ces pays a permis de faire diminuer la consommation chez les plus jeunes : le trafic existe toujours, mais il est plus résiduel, et l'interdiction de la vente aux plus jeunes rend difficile leur approvisionnement.
https://www.rtbf.be/tendance/green/detail_les-abeilles-sont-attirees-par-les-plants-de-cannabis-mais-pas-pour-planer-plus-haut?id=10802778
(ça conforte l'avis de certains il y a déjà quelques années...)
Les abeilles sont attirées par les plants de cannabis mais pas pour planer plus haut
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Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l’Université Cornell publiée dans la revue Environmental Entomology révèle que les abeilles sont très attirées par les plantes de cannabis.
Une étude qui pourrait bien aider les scientifiques dans le monde à mettre en place des stratégies pour aider les abeilles qui se font décimer partout. Après les initiatives locales de création d’espace de biodiversité "bee-friendly" comme les abribus aux toits végétaux, la marijuana serait-elle une solution aux problèmes des abeilles ?
Selon l’étude, 16 types de plantes de cannabis attirent les abeilles et les plantes plus hautes en attirent 17 fois plus que les plus petites. Si vous avez peur que les abeilles se prennent un mauvais trip, n’ayez crainte car elles n’ont pas les récepteurs cannabinoïdes nécessaires pour vivre l’expérience humaine de la marijuana, comme le souligne royalqueenseeds.
En quoi les plants de cannabis pourraient aider la population des abeilles ?
Les abeilles butinent les fleurs des plantes, que ce soit des arbres, des fruits ou des légumes (ou de simples fleurs). Elles participent ainsi à la biodiversité et à vous donner de quoi manger dans l’assiette. Mais, comme tout le monde le sait, les pesticides et autres insecticides présents sur les fleurs tuent les abeilles…
Le point positif des plants de cannabis c’est qu’ils n’ont pas besoin de la plupart des produits chimiques violents qui repoussent les insectes et maladies, comme l’explique Vice. Les plants sont souvent "bios" et permettent ainsi aux abeilles de se nourrir sans risquer de s’empoisonner et mourir.
De plus, les plants de chanvre fleurissent à la fin du printemps, quand la plupart des fleurs sont déjà mortes et que les abeilles ont plus de mal à trouver de quoi butiner.
Mais attention, cela ne veut pas dire qu’on va planter du cannabis partout et que l’on va se retrouver avec de quoi faire des joints pour la planète entière puisque le chanvre peut être utilisé pour produire des fibres, des céréales et du cannabidiol (CBD). Il a d’ailleurs de plus en plus de succès dans la mode où le chanvre est devenu une fibre textile très appréciée.
Eaze : la première application de livraison de cannabis
Eaze est donc officiellement la toute première application au monde à se lancer en tant que vendeur de cannabis sur l'App Store. Après l'autorisation d'Apple il y a de cela un mois, la société espère cartonner dans ce secteur même si pour le moment, rare sont les endroits où ce genre de livraisons sont autorisées. Eaze : le Uber Eats du cannabis
Il y a de cela une dizaine de jours, nous vous parlions de l'imminente arrivée des applications de livraison de cannabis sur l'App Store. Le concept peut paraître assez fou vu de chez nous étant donné que c'est une substance illégale en France mais dans certains États américains, cela fait pas mal de temps que c'est autorisé et encadré.
En ce lundi 12 juillet 2021, c'est l'application Eaze qui est la première mondiale à se lancer dans le domaine. Depuis cette application, l'achat-livraison est donc possible selon votre emplacement car pour le moment, seule la Californie profite de ce nouveau service en attendant le Michigan dans les semaines à venir.
Comme le souligne le PDG d'Eaze, l'application va simplifier la vie aux clients et potentiellement rendre ce produit plus commun et banal qu'il ne l'était jusqu'à maintenant.
L'App Store a bien évidemment modifié sa politique de confidentialité pour ce secteur même s'il faut bien comprendre que cela reste très sécurisé et surveillé. Par exemple, il est impossible d'en commander des dizaines de fois par jour et la quantité d'une commande est elle-aussi régulée.
Par ailleurs, vous ne risquez pas de tomber sur une histoire avec un titre accrocheur du style "il devient millionnaire en vendant du cannabis sur l'App Store" car là-aussi, l'encadrement est total et une personne seule ne peut pas lancer sa propre application et son propre réseau. Un statut spécial d'entreprise et une tonne de justificatifs officiels sont obligatoires.
Pour ce qui est de la France, pensez-vous que cela pourrait arriver un jour ou qu'au contraire, nous ne sommes pas près d'avoir accès à ce genre d'applications ?
Et si on cuisinait au cannabis?
Romain Wanner
il y a 5 jours
La cuisine à l’herbe, ce n’est pas que le space cake. C’est même une tendance food au niveau mondial. Explications.
Ce n’est pas parce qu’on cuisine au cannabis qu’on va planer pendant des heures! On peut utiliser des graines de chanvre, qui sont totalement dépourvues de substances actives, mais réputées très saines à manger. Et si on utilise du CBD, il n’y a même aucun risque de décoller, vu que la teneur en THC du produit – la molécule qui défonce – est limitée à un taux de 1% maximum.
On y gagne à ingérer du CBD: le produit relaxe et réduit l’anxiété. Il possède également des propriétés antalgiques, anti-inflammatoires et pourrait même aider à lutter contre la dépression.
Le fumer? Ce n’est pas la meilleure idée. Même si c’est un moyen plutôt simple d’ingérer du CBD, cela reste nocif pour les poumons. Alors que si on l’intègre à sa nourriture… on peut profiter de ses saveurs herbacées et ses bienfaits. Voici comment cuisiner au cannabis.
Ne pas trop chauffer
Au-delà de 180 °C, les bienfaits du cannabis sont cuits, comme on dit. Il ne reste plus grand-chose d’actif, mais une saveur astringente et amère peut survenir, ce qui n’est pas forcément recherché. Ainsi, on ne dépassera pas les 180 °C. Pour un gâteau, on est bons, mais dans une cuisson à la poêle ou à la casserole, il faut se méfier. Mieux vaut ajouter le CBD, en fin de cuisson.
Avec quoi accorder le cannabis?
Le cannabis peut faire la différence dans certains plats. On peut bien sûr en mettre un peu partout juste pour avoir les effets. Mais au niveau gustatif, il faut savoir qu’il se mêle particulièrement bien aux légumes. Quelques gouttes d’huile de CBD apporteront un côté herbacé à une poêlée de carottes bien dorées, par exemple. On assaisonnera ces dernières en fin de cuisson, une fois sorties de la poêle.
Il va aussi très bien dans de nombreux mets aux légumes verts. Que ce soit avec des épinards, dans une tarte avec du fromage de chèvre ou pour relever une tombée de chou kale.
On l’aimera aussi dans une sauce salade et dans un pesto, dans lesquels ses saveurs se révèleront particulièrement. Et avec des pâtes, l’amertume ne devrait pas prendre le dessus (tout dépendra de la quantité d’huile «parfumée» qu’on y met et de l’amertume de l’huile d’olive avec laquelle on va l’associer). Certains mettent un peu d’huile aussi dans le guacamole. C’est très bon mélangé avec de la coriandre.
En dessert, le CBD est succulent dans un caramel au beurre salé. Il apporte un petit twist saisissant que les fans de caramel adoreront sur une boule de glace.
Attention à la qualité!
Au niveau des saveurs, la qualité importe énormément. Notamment dans les huiles de CBD qu’on achète prêtes à consommer. Une huile de qualité médiocre aura très vite une amertume dominante et astringente qui ne peut se couvrir qu’en l’utilisant en dessert. Alors qu’une huile de bonne qualité aura bien sûr les saveurs du cannabis et une légère amertume, mais aussi parfois un côté presque doux ou des notes boisées et des fruits. Il faudra chercher un peu parmi les produits du marché pour trouver celui qui vous convient, en termes de saveur et de potentiel.
Pour davantage d’inspirations
Netflix a sorti un show culinaire dédié à la cuisine au cannabis. Les recettes et idées y sont très intéressantes! A voir: Cooked with cannabis, sur Netflix.
"Défoncées jusqu'à l'os" : elles vont dans un resto où tout est cuisiné au cannabis
Un établissement d'un nouveau genre a ouvert illégalement à New York, où tout ce qui est servi est à base de THC, la molécule responsable des principaux effets psychoactifs du cannabis. Une journaliste américaine l'a testé avec sa sœur...
Le "Stoned gourmet cannabis pizza" sert des pizzas à base de THC. Photo d'illustration marcos vega de Pixabay
Voilà un reportage pour le moins... planant. Cette semaine, une journaliste d'Insider a testé, accompagnée de sa soeur, un restaurant d'un nouveau genre à New York, où tout ce qui est servi est à base de THC, la molécule responsable des principaux effets psychoactifs du cannabis.
Le "Stoned gourmet cannabis pizza" offre ainsi aux amateurs de cette drogue un aperçu de ce qu'ils attendaient avec impatience : la légalisation, depuis avril, de la marijuana "à des fins récréatives" au sein de la grosse pomme.
Des ventes illégales jusqu'en 2022
Mais attention : bien que les New-Yorkais de plus de 21 ans peuvent désormais consommer légalement du cannabis comme bon leur semble, les ventes, elles, sont toujours illégales, au moins jusqu'à mi-2022.
Un détail pour le chef du "Stoned", un établissement caché situé quelque part dans l'East Village. Il ignore cette loi puisqu'il a ouvert depuis près d'un an... Et accueille chaque soir de la clientèle prête à se "défoncer jusqu'à l'os", comme Andrea et Rachel.
A leur arrivée, les filles racontent avoir été assaillies par "une douce odeur" d'herbe avec, en fond sonore, "une chanson de Snoop Dogg". Si les convives sont invités à apporter leurs propres joints pour accompagner les plats, elles précisent que "vous n'en avez pas besoin", car "chaque aliment du menu, y compris la boisson, contient une généreuse portion de THC. Les portions sont grandes et remplies de THC. Soyez prêt à laisser de la nourriture dans l'assiette" ajoutent-elles.
L'équivalent de 4 à 6 joints
Ainsi, en faisant le calcul, la reporter a compté que "le repas complet, en quatre services, contenait plus de 400 mg de THC par personne" (soit 4 à 6 joints) pour 100 dollars (moins de 85 euros) chacune. "Par comparaison, un joint contient entre 60 et 150 mg de THC ou plus" souligne-t-elle. Cependant, le fait de manger et non pas fumer la molécule "peut affecter les gens différemment car elle est absorbée par le foie".
En tant que consommatrice expérimentée, l'Américaine avait prévu de goûter seulement un quart de chaque assiette (deux entrées, une pizza, un dessert) pour ne pas se sentir mal. Mais elle avoue qu'elle avait très faim et "une fâcheuse tendance à pousser les choses un peu trop loin..."
Après 2h30 de dégustation, si, comme sa frangine, Andrea n'a pas été malade, voire pire, elle recommande, pour ceux qui veulent se lancer dans l'expérience, de prendre une vraie collation avant de dîner, au risque de vraiment (vraiment) finir complètement... "stones".
Contrairement au THC, une autre molécule présente dans le cannabis, celle qui donne la sensation de « défonce », le cannabidiol n’a pas d’effet psychotrope :
D’ailleurs, c’est la maladie de Gaspard Duval, l’autre co-fondateur de la société, qui a donné des idées au duo de 26-27 ans.
Utilisé par certains malades
Atteint de la pelade universelle, une maladie auto-immune qui provoque la perte de cheveux et dont le traitement est assez lourd, le jeune homme a découvert que le cannabis avait un pouvoir anti-inflammatoire important.
Mais comme la consommation de THC est illégale en France, il s’est intéressé aux autres molécules présentes dans le chanvre, dont il existe différentes variétés (autres que celle que l’on peut fumer pour un usage récréatif).
Ainsi, Gaspard Duval a noté que le CBD était un « bon régulateur du système immunitaire ».
Une alternative « gourmande »
« Mais il prenait trois-quatre gouttes d’huile sublinguale de chanvre, tous les matins, rapporte son compère. C’est utilisé comme un traitement par certains malades mais ce n’est pas très agréable comme goût. »
Aussi, ça représente un certain budget. En moyenne, on tourne autour des 70 euros pour la fiole de 10 millilitres.
Partant de ce constat, les deux entrepreneurs ont décidé de créer une alternative : « un produit facile d’utilisation et gourmand », vend Antoine Grenier.
Dans les bars, restos… et salles de sport
L’embryon du projet remonte à 2018, il accouche d’une start-up en octobre 2019 et un appel à financement participatif trouve un écho favorable le 3 octobre 2020 avec un objectif atteint à près de 300%, soit un peu plus de 17 000 euros récoltés.
Cannabis thérapeutique : Shawn Kemp ouvre un dispensaire à Seattle
Publié le 23 octobre 2020 à 11:05TwitterFacebook
En présence de Gary Payton, l’ancien ailier-fort des Sonics ouvre vendredi prochain son établissement dans le centre de Seattle.
John Isner, Al Harrington, Mike Tyson… Des anciens sportifs, et pas des moindres, ont décidé d’investir dans le business du cannabis thérapeutique, et le dernier en date n’est autre que Shawn Kemp. Sobrement baptisé Shawn Kemp’s Cannabis, ce dispensaire sera inauguré vendredi prochain.
« Mon nom est sur la société et je me suis donné à fond pour donner vie à Shawn Kemp’s Cannabis » écrit l’ancien dunkeur des Sonics. « Je veux proposer rien de mieux que la meilleure sélection au meilleur prix à Seattle. »
Pour l’inauguration, et comme il a aussi ouvert un business dans le cannabis, Gary Payton sera là, et Shawn Kemp espère voir beaucoup de fans des Sonics.
« Je m’attends à accueillir de manière régulière des fans des Sonics, et ce dès le premier jour » annonce-t-il.
À noter d’ailleurs que le côté du magasin sera doté d’une énorme fresque murale à la gloire du « Reignman », réalisée par l’artiste local Jeff Jacobson. On ne risque ainsi pas de se tromper de lieu.
Jay-Z a fondé Monogram, sa propre marque de cannabis
26/10/20 12h17
PAR Léa Formentel
- 26/10/20 12h17
Vendredi 23 octobre, le rappeur a officiellement lancé sa première marque de cannabis avec l'entreprise californienne Caliva et elle est baptisée Monogram.
Célèbre rappeur et entrepreneur, lauréat de nombreux Grammy Award, propriétaire du service de streaming Tidal, à 50 ans, Jay-Z vient d'ajouter une nouvelle corde à son arc en créant Monogram. L'objectif derrière ce nouveau business : "redéfinir ce que le cannabis signifie pour les consommateurs d'aujourd'hui".
Pour sa marque de cannabis en partenariat avec Caliva, société californienne de production d'herbe, le milliardaire a misé sur "une sélection rigoureuse des variétés, des pratiques de culture méticuleuses et une qualité sans compromis", a-t-il affirmé dans un communiqué de presse.
Même si, 34 Etats américains (sur 50) ont légalisé la marijuana à des fins médicales, et certains d'entre eux en autorisent l'usage à des fins récréatives, cela reste illégal au niveau fédéral. Une playlist intitulée Monogram : Sounds From the Grow Room a également été créée sur Tidal à l'occasion de la sortie de la gamme. On y trouve évidemment Bob Marley, mais aussi les Beatles et Rihanna et des titres comme Expensive Shit de Fela Kuti ou Legalize It de Peter Tosh.
Jay-Z n'est pas le seul à investir dans le domaine. L'actrice Whoopi Goldberg a lancé sa marque de cannabis thérapeutique pour soulager les règles douloureuses en 2016, quant à Martha Stewart, elle commercialise des produits à base de CBD.
https://www.leparisien.fr/video/video-le-rappeur-koba-lad-avait-il-le-droit-de-distribuer-du-cbd-dans-paris-25-10-2020-8404934.php
VIDÉO. Le rappeur Koba LaD avait-il le droit de distribuer du CBD dans Paris ?
Koba LaD a distribué du CBD, l’un des composés actifs majeurs du cannabis, à ses fans pour promouvoir la sortie de son nouvel album.
Par Alicia Roux
Le 25 octobre 2020 à 19h11
A bord d'un camion rouge, floqué au nom de son nouvel album « Détail », le rappeur Koba LaD arpente les rues de Paris pour distribuer des sachets de CBD, l'un des composés actifs majeurs du cannabis. Une foule de jeunes s'arrachent les petits pochons lancés depuis le camion.
Un flou juridique
« Aujourd'hui, au regard de la législation, la commercialisation et la distribution du CBD font encore débat », explique Berchir Saket, juriste en droit de la santé. « Le gouvernement considère que les produits CBD sont considérés comme des stupéfiants alors que c'est commercialisé assez librement », précise-t-il. Un flou juridique dont a su profiter Koba LaD pour faire le buzz autour de la promotion de son nouvel album.
AMAZON VA MAINTENANT VENDRE DU CBD
De Clémounet - Posté le 15 octobre 2020 à 16h17 dans Insolite
Amazon s'étend toujours plus dans différents domaines. Le géant de la vente en ligne a décidé de se lancer dans un marché florissant, la vente de CBD.
DU CANNABIS LÉGAL EN VENTE SUR AMAZON
Le cannabis psychoactif est toujours illégal en France et dans de nombreux pays, mais depuis quelques années, il existe une variante qui se nomme le CBD. C'est du cannabis auquel on a retiré le THC, cette substance psychoactive qui vous rend "stone". Le CBD est tout à fait légal pour une consommation médical et ils se développent de plus en plus. On trouve maintenant de nombreuses boutiques qui en vendent, souvent les produits viennent de Suisse. C'est un commerce florissant et Amazon l'a bien compris. Il sera désormais possible de s'en procurer en quelques clics. La plateforme de e-commerce a décidé de se lancer dans la vente de cette plante qui n'est pas une drogue. Elle peut être achetée sous forme de fleur, de résine, mais aussi d'huile.
Pour le moment Amazon a décidé de lancer une phase de test au Royaume-Uni. Le CBD n'est donc disponible que sur la plateforme Amazon UK, mais si les tests sont concluants, il est fort probable que le commerce se développe sur les autres plateformes. Amazon a souhaité justifier ce lancement et a rappelé que la vente de CBD était autorisée uniquement pour certains distributeurs.
Pour rappel, bien que légal, le CBD est un produit réservé aux adultes, il est interdit aux moins de 18 ans. Vous ne pourrez pas vous en procurer directement sur Amazon France pour le moment, mais il existe de nombreuses boutiques françaises en ligne.
Le produit est vendu comme un "soin" à appliquer sur le pénis pour retarder l'éjaculation et faire durer le plaisir. Le tout à base de CBD. Comment résister ?
J'avais déjà entendu parler de l'utilisation du CBD (un cannabinoïde présent dans le cannabis) dans les tisanes pour se détendre ou les joints légaux pour un tout autre effet, mais jamais comme allié de rapports sexuels plus longs. Pourtant, il semblerait que le marché des soins relatifs au coït se soit emparé de ses vertus tranquillisantes, à des fins jouissives. Et notamment par le biais d'un petit flacon discret intitulé "Intimate CBD Delay Spray" ("Spray retardant intime au CBD", en français) qui, à en croire sa notice et le marketing, serait quasi magique.
En même temps, la promesse est alléchante. Le produit s'applique sur le pénis de son partenaire pour qu'il puisse faire l'amour en éjaculant moins rapidement. Quelques vaporisations et quinze minutes d'attente suffiraient à ce que nos ébats s'éternisent. Ou du moins, durent assez longtemps pour satisfaire les deux parties équitablement.
Intrigant.
En ce temps frais et pluvieux d'automne, qui appelle davantage à rester au lit qu'à se balader pendant des heures, l'occasion était toute trouvée pour s'atteler à quelques recherches sérieuses. Et filer sous la couette en plein après-midi afin de procéder à l'expérience inédite et répondre à la question que tout le monde - au bas mot - se pose : est-ce que ça marche vraiment ?
C'est frais et ça sent bon
Nous voilà donc un samedi vers 15 heures, allongé·e·s dans des draps propres de la veille qui dégagent une odeur chimique mais agréable d'assouplissant à la "lavande provençale". On est lessivé·e·s par une semaine chargée et on hésite à zapper le test pour une sieste. Une petite avant de retourner s'occuper du bébé qui dort pour l'instant paisiblement.
C'est ce qui se passe ces derniers temps : la fatigue l'emporte un peu sur le désir. Et on met de côté notre intimité. C'est normal quand on vient d'avoir un enfant, il paraît. Mais au bout de quasi un an, ça plombe le moral. Alors, pour casser la routine et tenter de redonner un peu de corps à notre vie sexuelle, on décide de laisser sa chance au produit.
"J'ai lu quelque part que faire l'amour redonnait de l'énergie", me lance mon mec. Ça suffit à me convaincre d'enlever mon legging troué et ma culotte préférée (une Snoopy en coton de mon adolescence), et de glisser la main dans son caleçon, fille facile (et glamour) que je suis.
Deux minutes plus tard et autant de pelles roulées comme des ados, on se rappelle de notre mission : le spray. Il l'attrape tant bien que mal sur la table de chevet et tente de lire les quelques lignes de mode d'emploi inscrites en police 2 sur un autocollant au dos de la petite bouteille. Après déchiffrage, on apprend qu'il faut vaporiser une à trois fois sur le pénis, et attendre un quart d'heure que le liquide pénètre pour qu'il me pénètre.
Je "pschitte". Ça sent bon et c'est frais, un peu comme un chewing-gum à l'eucalyptus. Je masse la zone (pas sûre que ce soit conseillé mais toutes les excuses sont bonnes), et on laisse "reposer". Pour l'instant, la texture est légèrement collante.
Que faire en attendant ? S'occuper de la personne dans le lit qui ne s'est pas enduit les organes d'herbe liquide.
Attention au timing
Quinze minutes, ça peut être très court ou très long. Très court quand on sait les combler, très long quand on se regarde dans le blanc des yeux en attendant la fin du chrono. Dans notre cas, on a voulu combler. C'est justement le moment d'explorer d'autres facettes du sexe qui ne soient pas phallocentrées. Comprendre caresses, cunnilingus, masturbation et autres jeux qui n'impliquent pas uniquement le pénis. Dans une relation hétéro, ça change.
Pendant ces 900 secondes, donc, le but était de me faire du bien à moi pour que lui aussi, continue d'être excité. On a tenté le truc du glaçon dont on entendait parler depuis un bon moment, et que la réputation précédait. On avait lu, entre autres, qu'au contact du corps chaud, le froid de l'eau gelée procurerait un contraste envoûtant, et mettrait les sens en éveil. Théorie prometteuse. Pratique nuancée.
Car voilà : pour que "contraste envoûtant" il y ait, encore faudrait-il que ma peau soit brûlante, et surtout que je ne me les caille pas dans un appartement sans chauffage ni double vitrage par 10 degrés à l'extérieur. Sauf que si. Plutôt que mon pied, j'ai d'abord eu l'impression de prendre une douche froide. Et croyez-moi, ça n'a rien de très excitant...
... Jusqu'à que ce que ledit glaçon - et la bouche du garçon - se dirigent de concert vers mon clitoris. Là, c'est une autre histoire, nettement plus raccord avec les dizaines de recommandations repérées en ligne dans divers magazines. Les sensations sont décuplées, le plaisir aussi. Quand les quinze minutes sonnent, on est à point : on pourrait jouir en moins d'une minute. Conditions idéales pour se rendre compte de l'efficacité du spray.
Trente minutes intenses
Étonnamment (ou non), les positions s'enchaînent et nos ébats durent réellement plus longtemps que d'habitude. On fait des pauses parfois, puis on reprend. Levrette deux fois, cow-girl inversée moins décisive qu'à l'accoutumée, et apothéose en face-à-face, assis·e·s au bord du lit, pour ne citer que ces positions. Je ne parle pas de trois heures non plus, hein - qui a vraiment envie de ça - mais d'assez de temps pour avoir besoin de reprendre nos esprits, en sueur, à la fin. Soit à peu près la demi heure de sieste qu'on envisageait de s'accorder un peu plus tôt.
Niveau texture, pas vraiment de différence au toucher avec la peau "naturelle". Peut-être un léger film que l'on sent seulement en passant le doigt. Rien de bien gênant, donc.
Verdict : une réussite, qui n'est peut-être pas uniquement attribuable au produit, cependant. Mais sûrement aussi à l'état d'esprit avec lequel on a abordé ce moment privilégié dans un quotidien un peu harassant. On voulait y aller par étape, prendre le temps de se parcourir, retrouver une connexion qui nous avait manquée. C'est chose faite.
On se sourit la tête posée sur l'oreiller, le silence règne à la maison. On ferme les yeux quelques secondes, satisfait·e·s et surtout heureux·se·s de pouvoir enfin recharger nos batteries. Et là aussi, c'est le pied.
`` Big Mike '' lance une nouvelle émission télévisée `` The Next Marijuana Millionaire ''
LOS ANGELES - Une nouvelle émission télévisée sur le thème du cannabis devrait faire ses débuts cet été. La série présentera les aspirants entrepreneurs du cannabis qui s'affronteront pour avoir une chance de devenir Le prochain millionnaire de la marijuana.
Animé par Michael «Big Mike» Straumietis, personnalité de l'industrie du cannabis, l'émission testera les connaissances et les compétences des concurrents en matière de cannabis. Et comme l'industrie est difficile à prospérer, les concurrents verront également leur endurance mentale et physique mise à l'épreuve.
La bande-annonce Le prochain millionnaire de la marijuana présente ce qui semble être un groupe diversifié de candidats - dont deux femmes habillées en nonnes. Il met également en évidence le style de vie somptueux de Big Mike, lui montrant le jet set et voyager en hélicoptère. Il y aura seize participants qui relèveront une série de défis qui devraient les préparer à l'intensité de la réussite dans l'industrie du cannabis. Le gagnant remportera 1 million de dollars et un partenariat avec Big Mike, qui pourrait valoir bien au-delà du prix initial.
En tant que l'un des dirigeants les plus reconnus et les plus réussis de l'industrie, Big Mike semble être un hôte approprié pour l'émission. Il fait partie de l'industrie du cannabis depuis près de quatre décennies. En 1999, Big Mike a fondé Nutriments avancés, la marque d'engrais de cannabis la plus vendue au monde. Advanced affiche un chiffre d'affaires annuel de plus de 110 millions de dollars avec des opérations à travers le monde et des ventes de produits dans 107 pays.
Big Mike a déjà consulté sur des émissions de télévision à succès, notamment Weeds et CSI et sur le film à succès Pineapple Express. Il est également un contributeur aux principaux organes de presse, notamment Cheddar, Huffington Post, Fox Business, Business Insider, Entrepreneur, et Yahoo! La finance.
La saison complète de Le prochain millionnaire de la marijuana sera présenté en première mondiale le 15 août 2020. Les téléspectateurs peuvent le trouver sur les principaux services de streaming, notamment Amazon Prime et Pluto TV. L'émission peut également être trouvée via Apple TV, Roku, Social Club TV, iOS et Android ou Smart TV.
Kendall Jenner : elle fait des révélations, elle avoue publiquement qu’elle consomme du cannabis !
Les fans du mannequin Kendall Jenner ont été surpris d’apprendre qu’elle fume généralement du cannabis.
Justin Bréant il y a environ un jour (19/09/2020)
Invitée dans le Podcast Sibling Rivalry d’Olivier et Kate Hudson, Kendall Jenner n’a pas hésité à balancer qu’elle prend du cannabis. C’est une révélation à laquelle on ne s’attendait pas, du moins concernant la jeune mannequin, âgée de 24 ans seulement.
Kendall Jenner révèle sa consommation de la marijuana
Il faut dire que cette information était jusqu’ici inconnue de ses followers. La jolie top-model américain est très appréciée sur les réseaux sociaux car elle publie régulièrement des photos d’elle partageant quelques moments de son quotidien. Kendall Nicole Jenner est également très connue pour leur fratrie avec ses sœurs Kylie Jenner, Kim Kardashian et plusieurs autres. Les révélations du mannequin de 24 ans n’ont laissé personne indifférent d’autant plus que rien ne laissait entrevoir une telle pratique si on se réfère à ses multiples publications sur les réseaux sociaux. Les internautes étaient plutôt informés du penchant que sa sœur Kim Kardashian avait pour le cannabis sans THC (CBD) dont la consommation n’est autorisée que par prescription médicale. Kendall Jenner aurait dévoilé sa consommation du cannabis sans aucun détour. Contrairement aux effets secondaires que l’on connaît de cette drogue, la jeune femme a visiblement l’air très calme et posé contrairement à sa sœur.
Il faut néanmoins dire que Kendall Nicole Jenner ne s’est jamais autant confiée. Elle n’a pas l’habitude de parler de sa vie privée comme ce fut le cas lors de ces révélations étonnantes. Elle n’est pas passée par quatre chemins pour dévoiler sa consommation de la marijuana. Alors que personne ne s’y attendait, l’ancienne participante de E! affirme « Je suis une fumeuse de marijuana. Personne ne sait cette information, donc c’est la première fois que j’en parle vraiment ouvertement comme ça ». C’est la réponse à une question posée à Kim Kardashian où on lui demandait qui elle désignerait si on cherchait à savoir la personne qui fume du cannabis dans leur famille. C’est donc une pratique habituelle chez la jeune femme qui en parle sans aucun remord. Contrairement à ce que certains peuvent penser, la consommation de la marijuana est légale dans certains États ce qui ne rend pas forcément sa consommation de cette drogue, illégale. La sœur de la femme de Kanye West sait faire ses choix et les assume également d’autant plus qu’elle est une majeure. Ce n’est donc pas un tabou pour Kendall Jenner de révéler en public qu’elle consomme du cannabis.
Une pratique autorisée dans certains États du pays
Les États-Unis se veulent un pays émancipé où chaque citoyen serait libre de ses choix. Ce n’est pas la première fois qu’on apprend que des stars américaines consomment des stupéfiants. Il faut dire que certains États comme New York ou la Californie, auraient autorisés la consommation de la marijuana. Ce n’est donc pas une surprise d’apprendre que la sœur de Kylie Jenner en consomme de temps en temps. Il faut dire que le podcast ayant fait l’objet de ces révélations avait été filmé bien avant le coronavirus, en début d’année.
Des révélations comme celles de Kendall Jenner sont fréquentes au sein de l’incroyable famille Kardashian. En fin d’année 2018, l’épouse du rappeur Kanye West déclarait qu’elle avait consommé de l’ecstasy lors de sa sextape ainsi que lorsqu’elle devait se marier pour la première fois en 2000 avec Damon Thomas. La grande sœur de Kendall Jenner s’était néanmoins remise en cause disant qu’à chaque fois qu’elle avait consommé ces drogues fortes, elle aurait fait des choses scandaleuses comme ce fut le cas avec la sextape. Toutefois, tous ces événements n’auraient pas freiné la mère de Chicago West qui préfèrent s’adonner aux stupéfiants moins forts. Ce n’est donc plus un secret pour personne car Kendall Nicole Jenner aurait délibérément dévoilé sa consommation du cannabis.
Coronavirus : des masques en chanvre bio compostables
Depuis que les gouvernements ont demandé à leurs citoyens de porter des masques pour enrayer l'épidémie de coronavirus, beaucoup polluent désormais les rues. Un Français a décidé de développer un masque biodégradable fabriqué en chanvre.
S. GirbalfranceinfoFrance Télévisions
Mis à jour le 15/09/2020 | 18:39
publié le 15/09/2020 | 18:31
Les masques polluent nos rues depuis des semaines. Mais également les océans. Le problème, c'est qu'ils mettent jusqu'à 450 ans pour se dégrader dans la nature. Alors, un entrepreneur français a trouvé une solution : le masque en chanvre. "Ce que j'aimerais, c'est que les gens regardent ce qu'ils achètent et ce qu'ils jettent. C'est qu'ils aient un comportement plutôt écoresponsable. Quand on met du chanvre dans le sol, trois mois, six mois après, il n'y a plus rien", révèle Frédéric Rouvre, président et fondateur de Géochanvre.
Le chanvre, un filtre efficace
Ce masque est donc le premier masque bio compostable en Europe. Les élastiques sont aussi recyclables, la doublure est en maïs, et les propriétés du chanvre garantissent un filtre efficace. "Les propriétés du chanvre existent depuis des milliers d'années. En faisant des toiles de chanvre, on peut faire des toiles de voilage pour la marine mais aussi des toiles de filtration", ajoute Frédéric Rouvre. Les clients de Géochanvre sont européens et canadiens, ils ont acheté 1,5 million de masques en chanvre depuis mars dernier. Aujourd'hui, dans le monde, environ 129 millions de masques faciaux à usage unique sont utilisés chaque mois.
Les autorités de Wichelen rêvent de pouvoir désorienter suffisamment une espèce de petits diptères piqueurs de la famille des cératopogonidés pour qu'ils cessent de s'attaquer aux humains. Arme ultime : des plants de cannabis.
C’est une star que l’on ne présente plus. Grande chanteuse et actrice internationale, elle s’est faite connaître pour sa voix incroyable, mais aussi pour sa personnalité atypique, plutôt affirmée. L’interprète de Woman in Love (1980) est aussi connue pour certaines de ses prises de position envers le grand public, l’une d’entre elles concerne justement le cannabis. Non seulement elle est favorable à la consommation de cannabis, mais elle en est une ambassadrice assumée, pour l’ensemble des bienfaits. Retour sur le personnage.
Barbra Streisand au début des années 60.
Streisand, grande amatrice de cannabis
Actrice et chanteuse accomplie des années 1980, Barbra a connu des époques où fumer de la marijuana, du cannabis et autres substances était non seulement autorisé, répandu, mais aussi encouragé. Aujourd’hui, l’image du cannabis souffre un peu plus, mais cela n’empêche pas la star de 78 ans d’affirmer sa consommation (régulière) de cannabis, même encore aujourd’hui.
Attention cependant à ne pas confondre plusieurs choses. Il existe une différence entre le cannabis dit « récréatif » et le cannabis thérapeutique. Dans le premier cas, il s’agit souvent des plantes de cannabis qui se roulent et se fument, qui possèdent un effet psychoactif. Le cannabis thérapeutique, c’est l’usage d’autres composants, comme le CBD, à des fins esthétiques ou curatives, qui ne possède pas de dimension psychoactive.
Dans le cas de Barbra, le cannabis est utilisé sous toutes ses formes.
Pourquoi du CBD après 70 ans ?
Surnommée « Babs », la chanteuse a toujours été obsédée par l’envie de rester jeune et de paraître jeune. En cinquante ans de carrière, peu de rides, une peau toujours aussi ferme et un regard de biche. Le secret ? La chirurgie, certes, mais aussi des réflexes beauté qu’elle n’hésite pas à partager.
Déjà, elle consomme très peu, voire pas, d’alcool : les effets peuvent être dévastateurs, comme cela a été le cas pour certains de ses contemporains ou anciens collègues de scène. Bien sûr, celle qui s’est fait connaître pour son nez incroyable, a toujours des secrets classiques, comme celui d’utiliser des crèmes de soin, pour entretenir et hydrater sa peau. Mais c’est tout !
Qu’est-ce qui fait alors la différence ? Peut-être le fait qu’elle utilise de plus en plus de produits à base de CBD, la composante non-psychoactive du cannabis. Le CBD se retrouve dans les crèmes, les huiles et sont l’apanage de nombreuses célébrités pour ses vertus apaisantes, relaxantes et efficaces contre les troubles de la peau.
Une star parmi d’autres
Ainsi, Streisand n’est pas la seule à vanter les mérites du cannabis, mais aussi du CBD. Pour sa génération, on pourrait citer Morgan Freeman, désormais plus grand ambassadeur du cannabis thérapeutique aux États-Unis à cause de sa maladie handicapante, de même que Whoopi Goldberg, qui a vu ses problèmes de dos et de stress atténués après avoir débuté une consommation de CBD.
Cet engouement a mené les grandes marques esthétiques, telles que L’Oréal ou Kiehl’s, à développer des gammes à base de chanvre ou de cannabis… Thérapeutique bien sûr ! Barbara Streisand est tout simplement, encore une fois, dans la tendance !
HO KARAN LA MARQUE DE SOINS AU CANNABIS OUVRE UN POP-UP STORE DANS LE MARAIS
Par Anne-christine C. · Publié le 11 juin 2020 à 16h49 · Mis à jour le 11 juin 2020 à 19h43
Rendez-vous dans le Marais pour découvrir les soins et les produits de beauté au cannabis de Ho Karan. Ce premier pop-up store de la marque ouvre du 1er au 30 septembre 2020 et pour fêter ça, on peut même participer à des ateliers bien être. Peace !
Ho Karan la marque de soins à base de cannabis ouvre son tout premier pop-up store dans le Marais. Rendez-vous du 1er au 30 septembre 2020 pour découvrir les produits de la marque et participer à des ateliers.
Entre confinement et déconfinement, vacances d'été avortées ou modifiées, voilà déjà la rentrée et on peut dire qu'on a eu notre dose de stress pour 2020. A défaut d'appeler le dealer, on peut se soigner en douceur grâce aux produits Ho Karan à base de cannabis. Ils sont adaptés à tous, quel que soit l'âge ou le genre. Une réponse naturelle, saine et responsable à tous les facteurs de stress qui nous plombent.
Ho Karan, la maison bretonne fondée par Laure Bouguen, petite-fille de chanvrier, se la joue plus scientifique que rasta. En effet la marque associe docteurs en pharmacie et agronomes dans l'élaboration de chacun des soins. Elle s'appuie sur les vertus holisitiques du chanvre pour créer crèmes, sérums, huiles essentielles et autres cosmétiques propices à la détente.
Et spécialement pour ce tout premier pop-up store, Ho Karan s'associe à des partenaires pour nous proposer des animations et ateliers autour du bien-être.
Au programme, des ateliers sur comment ralentir avec le Do nothing Club, de la naturopathie avec Tookies Gambetta, des soins pour les peaux stressées avec Alexandra de The Good Balance, des talks avec la communauté de The Swenson House. La suite de la programmation reste à venir.
C'est parti pour une rentrée 2020 plus cool que jamais !
Pineapple Express 2 aurait dû traiter de la légalisation du cannabis
le 11/06/2020 à 14:25 par Nicolas Bellet
Sony Picture
Judd Apatow a une idée pour la suite de la comédie, mais elle a du mal a se faire.
Dans une récente interview avec LADBible, Judd Apatow, le producteur Pineapple Express (Délire Express en Français), réalisé par David Gordon Green en 2008, a dévoilé ses idées pour une suite.
"Je me suis battu très dur pour faire une suite de Pineapple Express pendant de nombreuses années. J'étais un grand partisan de cette idée et je n'ai jamais pu la réaliser. […] J'ai une idée incroyable et elle mérite de voir le jour, mais je ne sais pas si ça arrivera". Même si l’envie est visiblement là, le projet reste au point mort : "Mon téléphone ne sonne pas, permettez-moi de le dire, mais je veux le faire."
Pineapple Express 2 aurait traité tout particulièrement de la légalisation de la marijuana. Pour rappel, Pineapple Express narrait les aventure d’un consommateur régulier de beuh (joué par Seth Rogen) et de son revendeur (James Franco) alors qu'ils tentaient d'échapper à des tueurs à gages et à un policier corrompu qu’ils avaient vu commettre un meurtre.
"Ils se passaient tellement de choses autour de la légalisation de la marijuana en Californie que nous avons pensé qu'il y avait une histoire amusante à écrire sur la façon dont ils allaient faire face ça - la communauté des marchands d’herbe devant gérer le fait que tout à coup c'était légal."